Pour être en bonne santé, il faut conserver un poids stable et proportionné à sa taille.
Les régimes pour réduire le surpoids sont nombreux mais bien souvent inutiles ; surtout quand on sait qu’il existe une inégalité devant l’assiette et que le régime seul ne suffit pas à faire maigrir. Même s’il fonctionne un certain temps, il est souvent suivi de rechute et de rebond du surpoids catastrophiques.
Une autre approche pour arriver à maigrir consiste à agir sur la satiété elle-même…
La piste des hormones
Lorsqu’on doit absolument perdre un surpoids, une méthode intéressante est d’agir sur la satiété elle-même. La faim et la satiété sont en fait des perceptions induites par des hormones. L’une de ces hormones, la ghréline, stimule les centres nerveux profonds du cerveau liés au circuit de la récompense. Elle provoque ainsi un état de satisfaction et de compensation affective, comme cela se passe avec les drogues à l’origine de dépendance, ou avec l’alcool et le sucre. Cette hormone procure une satisfaction induite par le remplissage de l’estomac par la nourriture. Par ailleurs, elle favorise parallèlement le stockage du gras. Elle augmente donc la graisse dans les tissus adipeux.
Chez les personnes qui mangent beaucoup et qui stockent, il y a donc surtout un déséquilibre hormonal. C’est l’élévation de cette hormone de la faim qui fait le plus souvent échouer le régime. Or, on a constaté que certaines fibres induisent une satiété naturelle parce qu’elles font baisser la ghréline, cette hormone qui donne l’appétit.
C’est le cas par exemple des fibres de figue de barbarie ou de certains prébiotiques comme l’inuline d’agave.
Voici donc quelques conseils pour aider à maigrir en se basant sur l’amélioration de la satiété :
> Rappel: 10 règles pour perdre du poids.
> 3 compléments pour aider à mincir.
> Comment agit OEMINE SVELTE BIO.
LES 10 RÈGLES DE BASE POUR PERDRE DU POIDS
1. Déshabituer l’estomac du remplissage.
En diminuant, très progressivement, la ration alimentaire. L’estomac reprendra ainsi peu à peu sa tonicité et diminuera automatiquement le volume nécessaire de remplissage. C’est ce que l’on recherche par la chirurgie bariatique chez les grands obèses (réduction du volume de l’estomac).
2. Manger lentement et se concentrer sur le goût des aliments.
Le fait d’insaliver convenablement les aliments avec l’amylase salivaire favorise la perte de poids. La prise alimentaire, quelle que soit la quantité calorique, favorise aussi la satiété de manière autonome lorsqu’elle est associée à une intense mastication. L’amylase joue un rôle essentiel dans la prévention de l’obésité comme cela est expliqué ici.
3. Diminuer peu à peu les rations de produits gras et sucrés.
Il ne faut pas se priver brusquement d’aliments gras et sucrés. Le problème des personnes en surpoids, c’est qu’elles se sont habituées à des doses importantes de ces types d’aliments, si bien que les centres cérébraux de la récompense et de la satisfaction du désir ont augmenté leur niveau de perception pour ces aliments-là. Un repas avec un trop faible index glycémique ne suffit donc plus à stimuler ces centres des affects, et il induit un comportement compulsif, soit pendant la digestion, soit au repas suivant. Il y a alors un désir incontrôlable d’augmenter la charge glycémique qui procure la satisfaction recherchée. Il ne faut donc pas modifier trop vite nos habitudes alimentaires, mais réduire progressivement les quantités en aliments gras et sucrés.
4. Commencer tous les repas par des crudités.
Et manger des légumes pour accompagner les viandes. Ils contiennent des fibres favorisant la satiété. Il faut donc s’efforcer d’en manger plus. Souvent, on les délaisse car ils sont mal préparés et donc peu goûteux. On peut faire de délicieuses soupes de légumes. On peut aussi les associer à des hydrolats culinaires bio, qui non seulement donnent du goût mais agissent aussi sur la satiété et la détoxification.
5. Éviter les produits contenant édulcorants et arômes.
Les plats contenant des édulcorants ou des produits allégés n’entraînent aucune satiété ; ils favorisent au contraire la suralimentation et en fin de compte font grossir davantage. Les arômes de synthèse quant à eux faussent le goût et perturbent le circuit de la récompense, tout en créant une addiction. Il faut rendre tout son rôle au sens de l’odorat qui participe de manière importante au goût. Car il sert aussi à réguler les prises alimentaires en favorisant le plaisir.
6. Remplacer les boissons sucrées par eau, infusions, jus de fruits frais.
Les boissons sucrées entretiennent l’addiction pour le sucre et favorisent la sécrétion d’insuline qui augmente le stockage du gras. La mauvaise habitude des sirops ou des jus de fruits concentrés sucrés transforme le phénomène de la soif, qui est alors associée à un besoin de sucre.
7. Prendre des collations fractionnées entre les repas.
Manger des pommes ou des fruits avec leur peau. Sauter des repas ou ne rien manger au petit déjeuner provoque des fringales, avec des montées d’insuline qui mobilisent les sucres de réserve et augmentent le stockage du gras. Les repas qui suivent sont alors totalement stockés. Mieux vaut fractionner les prises alimentaires, car cela régule également la satiété et évite la suralimentation.
8. Se détendre avant de passer à table.
Effectuer des exercices de relaxation ou de méditation et ne pas évoquer ses soucis à table. Les états dépressifs entraînent une stimulation involontaire des besoins en aliments gras et sucrés. Plus le niveau de dépression est élevé, moins les personnes sont capables de distinguer si les aliments sont gras. En revanche l’anxiété rend la perception des goûts amers et sucrés plus intense. Lors d’états anxieux ou légèrement dépressifs, on mange plus gras et on privilégie le sucré aux dépens de l’amer.
9. Éviter de manger devant la télévision.
Le stress et l’anxiété induits par des nouvelles désagréables perturbe les signaux de satiété venant de l’estomac. Le cerveau affectif est agressé et compense par de la nourriture. De plus la satisfaction liée au repas n’apparaît pas si on concentre son attention sur autre chose que la nourriture.
10. Bouger après les repas.
Au lieu de rester assis ou de faire la sieste, avoir une activité physique modérée juste après le repas est bon pour la digestion, notamment du sucre et des graisses. Cela peut également aider à sortir de table pour éviter les repas prolongés. Rester à table trop longtemps peut en effet être synonyme de tentation : on a envie de se resservir et de manger encore !
Trois compléments pour aider à mincir
> Pour favoriser la satiété : Oemine SVELTE bio, un complément alimentaire à base de fibres de nopal et de figue de barbarie, avec du chrome et du thé vert. Ses fibres ont un double effet : augmentation de la satiété et diminution de la nourriture absorbée.
2 gélules avant les trois repas.
> Pour mieux digérer et aider le Microbiote intestinal par un apport d’amylase : Oemine DIGEST, 2 gélules aux deux grands repas.
> Pour réduire la charge glycémique : Oemine Chrome Pissenlit, 2 gélules aux trois repas.
> Pour drainer et éliminer les toxines: un verre à jeun tous les matins de Oemine Sève de bouleau au macérât glycériné de bourgeons de cassis, ou Oemine Sève de Bouleau de Finlande, pendant 20 jours.
Comment agit Oemine Svelte BIO ?
Oemine SVELTE biologique est un complément alimentaire à base de fibres de nopal (Neopuntia – Opuntia) et de figue de barbarie (Cactinea -Ficus indica) associées à un prébiotique, l’inuline d’agave, avec du chrome et du thé vert.
Le Nopal biologique est l’ingrédient principal de Oemine Svelte. Le Nopal est une variété de cactus. Ses fibres ont un double effet cliniquement prouvé :
- Augmentation de la satiété, ce qui prévient les fringales.
- Diminution de la nourriture absorbée, et donc des calories ingérées.
Elles agissent en fixant les graisses et une partie des sucres alimentaires, tout en remplissant l’estomac, ce qui favorise la satiété. Les fibres s’y lient aux matières grasses présentes dans le bol alimentaire, et empêchent ainsi leur absorption duodénale. Elles agissent donc à la fois sur l’appétit et sur la quantité de calories ingérées. En outre, elles servent de nourriture aux probiotiques bénéfiques à la minceur.
La figue de barbarie biologique (fruit du cactus) est le second ingrédient majeur du produit : ses actifs régularisent le transit intestinal. Ils exercent parallèlement une action émolliente et adoucissante sur l’intestin. Ils libèrent dans l’intestin des substances protectrices dont l’action se propage jusque dans nos artères.
L’inuline biologique est le troisième ingrédient majeur de Oemine Svelte. Il s’agit d’inuline d’agave, un prébiotique non-absorbé par le duodénum. Diverses études ont démontré que l’inuline favorise également la perte de poids en régulant la satiété et en réduisant donc les fringales impérieuses ; notamment celles de fin de repas qui induisent un besoin de sucreries et de douceurs. L’inuline en tant que prébiotique nourrit les bonnes bactéries intestinales. Certaines de ces bactéries, notamment celles qui fabriquent de la sérotonine, combattent la dépression. Or on reconnaît un lien entre la déprime et le besoin de compenser par une alimentation sucrée ou grasse. L’inuline peut donc avoir par ce biais un double impact, à la fois régulateur des calories ingérées, et facilitateur de la bonne flore intestinale anti-déprime.
Enfin, le Thé vert dans Oemine Svelte Bio va agir comme antioxydant et brûleur des graisses ingérées.
Quant au Chrome dans Oemine Svelte, il contribue au maintien d’une glycémie normale.